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Articles

Quandu pensu a solenzara,pour le défi de Mémé Yoyo

Yolande, si tu veux bien, je dédicace cet article à Mère-Grand qui fête ses 1 an...(on dirait une phrase code de Radio Londres^^) http://mere-grand.over-blog.com/2016/10/1-an.html Aujourd'hui Mémé Yoyo souhaite que nous lui présentions une carte que nous avons reçue et qui nous rappelle des souvenirs.... J'ai reçu dernièrement une belle carte de Corse (en fait deux!),celle que je vous présente est de Bonifacio.. je la sors de mon tourniquet à cartes  la voici: Il y a 42 ans, avec mon 1°émolument succinct d'élève-institutrice,je suis partie avec une copine trois semaines camper à Solenzara,en bord de mer et sous les eucalyptus.'l'année d'après nous sommes parties 15 jours en Grèce, et curieusement je ne suis retournée ni en Corse ni en Grèce, depuis.... Mes souvenirs corses sont extrèmement limités.Je me rappelle juste très bien y avoir visité Porto- Vecchio et Bonifacio, et aussi quelques routes dans la montagne, à travers des bois de  châtai

Elsa Triolet par Aragon pour la poésie du mardi de Lydie et Victor

"Roses à crédit" est le premier et pour le moment le seul livre d'Elsa Triolet que j'ai lu, trouvé la semaine dernière dans une des boites à livres de ma commune.Elle fut la muse et la femme d'Aragon et partagea avec lui la passion littéraire et les engagements politiques. Aragon a écrit d e nombreux poêmes sur elle dont celui qui suit: Les mains d'Elsa Donne-moi tes mains pour l'inquiétude Donne-moi tes mains dont j'ai tant rêvé Dont j'ai tant rêvé dans ma solitude Donne-moi tes mains que je sois sauvé Lorsque je les prends à mon pauvre piège De paume et de peur de hâte et d'émoi Lorsque je les prends comme une eau de neige Qui fond de partout dans mes mains à moi Sauras-tu jamais ce qui me traverse Ce qui me bouleverse et qui m'envahit Sauras-tu jamais ce qui me transperce Ce que j'a

REEDITION AVEC NOUVEAUX LIENSLes émigrants, d'Eugène Laermans pour le tableau du samedi de Lydie

J'ai des copinautes fins limiers!elles ont dû faire leurs classes l'une avec Sherlock Holmes, l'autre avec Tintin! Cerise violette http://pointsdecerise.canalblog.com/   me dit où trouver le triptyque: https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/6/67/Eug%C3%A8ne_Laermans_-_Landverhuizers.JPG  et Clio http://clio-se-balade.eklablog.com/   m'a envoyé les trois volets de cette peinture et me met en commentaire ce qui suit: "On dirait que l’ensemble doit se “lire” de droite à gauche : - les paysans quittent le village, présence du curé  .... - ils sont sur les routes - ils arrivent au port que l’on voit dans le lointain ...Anvers ? bien possible." mesdames merci!c'est un plaisir d e vous "connaitre" et votre regard m'est précieux.... Francine avec plaisir d'autres détails sur ces grandes vagues migratoires belges!    Article initial: Je voulais vous montrer le triptyque 

CASSIEN pour la cour de récré de Jill Bill

arrête ton cirque,Cassien! et surtout, ne touche à 'ien,  ne casse 'ien! tu as voulu faire de la voltige vol plané dans les rosiers de mémé oui çà pique, c'est un peu le concept du rosier! aïe, dommage pour ton fessier! les chevaux tu as voulu monter tu es si étourdi que tu t'es trompé je t'ai retrouvé sur l'écuyère eh oh dis donc!!!!!en v'la t'y pas, des manières!!!!!  tu as voulu devenir funambule mais tu as confondu avec somnambule! En vocabulaire aussi on dirait que tu es assez nul! aïe,dommage pour le sommier je te préfère presque en train de ronfler! tu as voulu être dompteur de lions tu as essayé avec le chat d e la maison avoue que tu le trouves beaucoup moins "trognon" maintenant qu'il t'a mordu les rognons! Clown tu devrais essayer déjà que tu l'as rouge, le nez et c'est pas à sucer d e la glace  ah mais quoi?qu'est ce qui se passe? Magicien, tu voudrais? le lapin je vais l'ac

SPLEEN pour la poésie du mardi chez Lydie et Victor

Spleen Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercle Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits ; Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l'Espérance, comme une chauve-souris, S'en va battant les murs de son aile timide Et se cognant la tête à des plafonds pourris ; Quand la pluie étalant ses immenses traînées D'une vaste prison imite les barreaux, Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux, Des cloches tout à coup sautent avec furie Et lancent vers le ciel un affreux hurlement, Ainsi que des esprits errants et sans patrie Qui se mettent à geindre opiniâtrement. - Et de longs corbillards, sans tambours ni musique, Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir, Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique, Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir. Ba

Fauré se pavane et Bizet pêche des perles

Deux morceaux entendus dernièrement lors d'un concert orgue, clarinette et trompette dans une église. Ce sont des classiques de la musique classique, on les a tous je pense un peu au fond de l'oreille.... la Pavane de Fauré,hypnotique Romance de Nadir, extrait du pêcheur d e perles de Bizet,un air qui s'enroule comme une spirale.... L'enregistrement n'est peut être pas des meilleurs mais à mon humble avis l'interprétation et la voix, si!