un petit passage ici pour vous présenter un beau poème (à mon avis) de Pablo Neruda
Il meurt lentement
celui qui ne voyage pas,
celui qui ne lit pas,
celui qui n’écoute pas de musique,
celui qui ne sait pas trouver
grâce à ses yeux.
Il meurt lentement
celui qui détruit son amour-propre,
celui qui ne se laisse jamais aider.
Il meurt lentement
celui qui devient esclave de l'habitude
refaisant tous les jours les mêmes chemins,
celui qui ne change jamais de repère,
Ne se risque jamais à changer la couleur
de ses vêtements
Ou qui ne parle jamais à un inconnu.
Il meurt lentement
celui qui évite la passion
et son tourbillon d'émotions
celles qui redonnent la lumière dans les yeux
et réparent les coeurs blessés
Il meurt lentement
celui qui ne change pas de cap
lorsqu'il est malheureux
au travail ou en amour,
celui qui ne prend pas de risques
pour réaliser ses rêves,
celui qui, pas une seule fois dans sa vie,
n'a fui les conseils sensés.
Vis maintenant!
Risque-toi aujourd'hui!
Agis tout de suite!
Ne te laisse pas mourir lentement!
Ne te prive pas d'être heureux!
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C'était ma participation ponctuelle au mardi de poésies de Lydie...En vous souhaitant de croire en vos rêves et de vivre vos passions...@bientôt ici ou sur vos blogs...
Commentaires
j'en avais besoin lol pour le poème du mardi !!
un beau texte que beaucoup devraient accrocher chez eux !!
merci Mamaz ! bon retour-
bisous -
Bonne soirée
J'espère que tu vas bien. Temps gris today , on a besoin d'eau mais pas très gai pour les campeurs de la région
Bonne journée à Toi!
http://www.lexpress.fr/culture/mort-de-la-philosophe-et-psychanalyste-anne-dufourmantelle-a-53-ans_1929696.html
bises
Ouf , je te retrouve . Tu n'as pas le droit de m'inquiéter ainsi .
Bisous et bonnes mamavacances
http://melimelojarjille.canalblog.com/
dont extrait ci dessous :
-Bizarrement, une pensée de Picabia me revint
«Notre tête est ronde pour permettre à la pensée de changer de direction. » -
quien no viaja
quien no lee
quien no escucha musica....
Il existe une polémique à propos de ce poème qui serait de Martha Medeiros, poétesse brésilienne, attribué par erreur à Pablo Neruda.